Ce mercredi, pour les moins de 26 ans, c'est nocturne rock'n roll au Palais des Beaux-Arts
Lucie Delorme,
0 min de lecture
22 mars 2017,
Culturons-nous
Ça lui prend de temps en temps. Le Palais des Beaux-Arts de Lille aime bien ouvrir ses portes gracieusement aux étudiants et, plus généralement aux jeunes.
Alors bien sûr, une visite au musée, ça peut rapidement être un brin rasoir. Mais pas avec le Palais des Beaux-Arts. Le concept proposé est légèrement différent des tours organisés classiques.
Le programme? Vous vous radinez à partir de 19 heures place de la République avec vos frimousses de jeunes premiers, et vous présentez votre carte d'étudiant ou d'identité. Vous rentrez si vous êtes inscrits dans l'enseignement supérieur ou si vous avez moins de 26 ans. Magique, hein? Ensuite, vous avez comme qui dirait carte blanche dans l'enceinte du musée.
Vous pouvez prendre la pose à la mode XVIIe siècle devant des tableaux de grands maîtres et vous faire tirer le portrait par des photographes, ou encore visiter le musée dans cette ambiance feutrée et chaleureuse que la nuit lui procure. Sur les murs, vous pourrez aussi admirer les travaux des étudiants de l'école Supérieure d'Art du Nord - Pas-de-Calais, ou parcourir les salles du musée en compagnie de jeunes guides d'un soir.
Ou vous pouvez tout simplement venir écouter l'excellent Bärlin, groupe de rock lillois qui posera ses instruments dans le musée pour l'occasion. Pour eux (et pour le reste des animations), ça vaut le coup de faire le déplacement.
Nocturne étudiante au Palais des Beaux-Arts de Lille, place de la République. De 19 heures à 22 heures. Entrée gratuite. Plus d'infos ici. Mais franchement, on a tout dit.
À lire aussi, c’est tout frais !
Le salon de la BD et des arts graphiques revient à Roubaix ce week-end
Lola Pierkot,
1 min de lecture
29 avr. 2025
On sort ?
Culturons-nous
Les expos à ne pas manquer à Lille dans le cadre de Fiesta
Margot Hoornaert,
5 min de lecture
25 avr. 2025
Culturons-nous
Aurore Garot,
4 min de lecture
03 avr. 2025
Culturons-nous
article écrit par Lucie Delorme