C'est peut être ce qui lui a permis de résister à un peu plus d'une heure de nage, avant de se cogner presque cinq heures de vélo pour finir par un petit marathon des familles couru en 3h39. On a du mal à imaginer ce qu'il avait dans la tête pendant tout ce temps, et comment, humainement, des mollets peuvent résister à presque dix heures d'effort intensif. Mais bon, passons, laissons la magie du sport opérer. Tristan est donc arrivé 3e dans sa catégorie (18-24 ans). Au classement général, il n'a pas vraiment à rougir non plus (surtout pour quelqu'un qui a commencé à s'entraîner en septembre 2016) : il arrive 176e sur 2221 participants. Tout va bien. Avant la course, il nous confiait qu'il y allait "en kamikaze". "Le niveau est très haut. Ça a beau être une course de neuf heures, je ne vais jamais courir seul. Et puis je n’ai jamais été confronté à un décalage horaire aussi important." Il s'y est bien fait, finalement. On dit bravo ? Ouais, bravo.
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article écrit
par Lucie Delorme