Dès le 4 juillet, on va pouvoir tout casser à la masse au Défouloir
Justine Pluchard,
0 min de lecture
26 juin 2018,
Sueur
La Fury-room à la lilloise s'appelle Le Défouloir et ouvre ses portes ce mercredi, rue de Cambrai. Le concept ? Payer pour une séance de casse autorisée : on choisit son "arme", et on entre dans une pièce remplie de bibelots et de petites choses fragiles qui n'attendent que nous et nos nerfs à vif pour être martyrisés.
C'est du lâcher-prise à l'état pur et le concept fait déjà bien parler de lui sur d'autres continents et dans d'autres villes françaises. La capitale des Flandre n'avait pas encore son défouloir, Anael Callens y a remédié.
Après plusieurs mois de travaux dans son local aux cinq salles de la rue de Cambrai, le jeune lillois est prêt à ouvrir les portes de son antre anti-stress ce 4 juillet. Plusieurs "armes de destruction" sont proposées, différentes formules, et donc plusieurs tarifs : à partir de 10€ pour 10min anesthésiante et jusqu'à 120€ pour les groupes prêts pour une grosse psychothérapie.
C'est vous qui choisissez le remède et vous pouvez également ramener vos propres objets, ceux qui vous ont pris le chou pendant toute la semaine par exemple. Et à la fin de la séance ? Un petit bar est là pour désaltérer.
Et petite note qui a son importance : le Défouloir travaille avec un acteur local pour la fourniture, le retrait et la valorisation du matériel malmené. Casser oui, contribuer à ruiner la planète, beaucoup moins cool.
Pour tout casser, rendez-vous au 108 rue de Cambrai et pour réserver, c'est ici.
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article écrit par Justine Pluchard