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Le Waf, café à chiens du Vieux-Lille, cherche des repreneurs

Aurore Garot 0 min de lecture
09 août 2018,

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Ophélie, la créatrice du premier café à chiens d'Europe, s'apprête à partir pour de nouveaux projets avec ses compagnons à poils. Mais son café de la rue de la Barre marche si bien depuis l'ouverture en 2016, que fermer définitivement les portes de son havre d'amour canin lui paraît inconcevable. Alors si vous avez une âme de gestionnaire et si vous êtes un gaga des chiens, le Waf n'attend que vous pour reprendre l'affaire.  "J'ai plus une âme de créatrice qu'une âme de gestionnaire, explique Ophélie. J'ai adoré monter le café mais maintenant, je veux passer la main au plus vite pour être focus sur d'autres projets en cours".  Voilà pourquoi la future ex-gestionnaire a posté sur Facebook le 26 juillet dernier, une annonce expliquant la recherche de nouveaux wafeurs. Et pour l'entrepreneuse de 26 ans, le bébé Waf peut encore grandir et évoluer, car tous les aspects du café n'ont pas encore été exploité. Pour l'instant, le paradis canin a permis à quarante-cinq toutous d'être adoptés et est en phase de test pour une partie garderie. "C'est une idée qui pourrait être creusée par les prochains propriétaires, par exemple", ajoute-t-elle. Le profil requis ? Être l'extrême opposé de Cruella d'enfer. C'est-à-dire être dans le respect de l'animal, avoir du pep's, être convivial et fun, savoir promener quatre chiens (voire plus) en même temps, mais surtout avoir de beaucoup d'amour à donner aux meilleurs amis de l'hommes. Car qui dit gérer le café, dit aussi gérer une armée de bêtes à poils 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Attention, Wookie, Pyme, Muffy, Marley, Zazou et compagnie ne sont pas vendus avec le café. Si vous voulez reprendre l'affaire, il va falloir ramener vos propres Wafs et contacter les associations partenaires comme Réflexe Adoption ou encore Ligue Protectrice des Animaux. Vous avez envie de vous lancer dans cette aventure à poils ? Alors contactez Ophélie par mail (ophelie@lewaf.fr) ou sur Facebook

article écrit par Aurore Garot

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