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Chez Cesacom, "on aime les créatifs qui ont des passions"

Mathilde Dolinger 2 min de lecture
10 fév. 2020,

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Pour intégrer certaines écoles, il faut parfois justifier d'un CV irréprochable et d'un palmarès universitaire parfait. Ailleurs, on cherche plus des profils originaux, créatifs, un peu hors cadre. C'est le cas de Cesacom, école de com' ouverte en 2012 à Lille.

Que ce soit bien clair : le dossier scolaire n'a un intérêt que très secondaire aux yeux du jury de Cesacom. D'ailleurs, pour entrer dans cette petite école de com', le concours d'entrée est un peu particulier. "On donne un visuel aux étudiants, et ils doivent imaginer une publicité avec slogan pour une marque", détaille Mathilde Defontaine, chargée de com' pour l'école. "C'est un travail qu'ils doivent faire chez eux, sans stress, pour nous le présenter ensuite le jour de l'entretien." Une méthode pas très orthodoxe qui permet surtout de repérer le petit génie de la pub dont le dossier classique serait très probablement passé à la trappe autrement. "On aime les créatifs qui ont des passions à côté de leurs études", confirme Mathilde.

Couteaux suisses de la com'

D'autant qu'une fois entrés dans l'école (l'admission est possible de la première à la cinquième année), les étudiants ne vont pas spécialement faire beaucoup de théorie. "On aime l'idée d'être une école un peu décalée", confirme Mathilde Defontaine. La centaine d'étudiants lillois participe à des compétitions où, pour un vrai annonceur, ils doivent imaginer une campagne de com'. Les trois dernières années se font obligatoirement en alternance, et tous les intervenants sont des professionnels de la com'. "Les étudiants sont en permanence plongés dans la pratique."

"L'idée, c'est qu'ils soient de véritables petits couteaux suisses de la com", ajoute Mathilde. Comprenez que l'enseignement, du BTS au master 2, se veut généraliste. "On ne veut pas enfermer les étudiants dans un secteur en particulier. Le but, c'est qu'ils fassent leur choix en fonction de leurs alternances."

JPO et salons

"On s'entend tous bien, l'esprit est familial et en même temps sérieux, ajoute Marie, étudiante en BTS. On a beaucoup de cours que l'école a ajoutés qui sont vraiment un plus." Comprenez qu'en plus des enseignements imposés pour être un diplôme d'État, l'école a ajouté des cours de PAO, de rédaction ou encore de photographie qui font la différence.

Si vous voulez vous rencarder un peu plus sur l'école, figurez vous que ça tombe hyper bien : Cesacom organise des journées portes ouvertes les 22 février et 28 mars. "On sera aussi au salon de la poursuite d'études à Lille le 7 mars, et au salon de l'apprentissage le 21 mars", conclut Mathilde Defontaine.

Et Cesacom a bien évidemment un site internet.

Article sponsorisé @Cesacom

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par Mathilde Dolinger

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