Après Aoyama, le bar Daikanyama amènera le Japon dans votre verre
Olympe Bonnet,
2 min de lecture
20 oct. 2020,
Night Night
Olympe Bonnet,
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20 oct. 2020,
Night Night
Le petit frère d'Aoyama, le resto japonais de la rue de Gand, va prendre place dans le même coin. Au numéro 50 de la même rue exactement. Ce sera un bar à cocktails où vous pourrez découvrir des saveurs originales et des breuvages typiquement japonais. Si tout va bien, l'établissement sera inauguré en janvier, après quelques travaux de rafraîchissement.
Son nom est un peu chaud à prononcer sans buguer : Daikanyama. Tout comme Aoyama, il s'agit d'un quartier de Tokyo. Une ville que Florian Rousies connaît bien, vu qu'il y a vécu. "Je veux partager la passion que j'ai pour le Japon, faire découvrir une nouvelle culture, casser les clichés." Oui parce que le pays du soleil levant ne se résume pas qu'aux sushis et aux combats de sumos. En 2018, il a donc ouvert les portes de son premier resto. Un pari réussi pour ce Lillois qui n'est pas du tout issu de la restauration. Cette fois, il se lance dans une nouvelle aventure.
"Ce sera comme un Izakawa", précise Florian. Traduction : un endroit populaire où boire un verre, style du saké ou une petite mousse. Mais le Nordiste veut y apporter sa touche. Dans son bar, l'accent sera mis sur les cocktails à base d'alcools japonais. Il commence les premiers tests pour élaborer sa carte et nous garantit qu'on sirotera des cocktails à base de gin ou de whisky très cotés, des binouzes en pression et en bouteille, et des alcools typiques genre du saké, du yuzu ou de l'umeshu. De quoi être dépaysé. "On pourra aussi manger des petits plats peu chers, comme des tapas ou des amuse-bouches", annonce-t-il. Avec, entre autres, des options végé, vegans ou sans gluten afin que tous les palais y trouvent leur compte.
Pour payer son bar et les travaux qui vont avec, Florian lancera une campagne de financement participatif sur Ulule. "Ça servira à acheter une machine pour réaliser des cocktails, le matériel de terrasse et tous les investissements qu'il y a autour". Objectif à atteindre : 6 000 €. Si les donneurs sont plus généreux que prévus, les sous en plus iront dans la déco, que le restaurateur veut plutôt feutrée et cocooning. On n'a plus qu'à attendre l'ouverture.
En janvier, vous pourrez donc boire un godet au 50, rue de Gand. Si ça vous branche, voilà la page Facebook et la page Insta, où vous pourrez suivre l'avancement du projet step by step.
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article écrit
par Olympe Bonnet