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Avec Fringokilo, la seconde main a débarqué à l'Usine de Roubaix

Justine Pluchard 3 min de lecture
29 sept. 2023, StaïleC'est green

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Infos
pratiques

📍 228 Av. Alfred Motte à Roubaix bâtiment 2 en face de Lee Cooper 
📆 du lundi au samedi
🕐 10h à 19h
🎫 20€ le kilo à l'achat (1€ le kilo la revente sur internet)
📱 Site internet, Facebook, Insta et TikTok
L'Usine de Roubaix est connue pour être le temple des boutiques outlet et vient de passer le cap de la seconde main avec Fringokilo. Ce nouveau magasin qui a ouvert début septembre propose un large choix de fringues de seconde main homme, femme et enfant qu'on peut essayer sur place et qu'on paie selon leur poids. C'est 20€ le kilo et il y a du réassort tous les jours. 
En à peine trois semaines d'ouverture, Fringokilo a déjà des habitué·es qui reviennent tous les jours à l'affût d'une pépite à dénicher. "Notre entrepôt est à quelques rues d'ici donc on peut assurer un réassort quotidien en boutique", explique Baptiste, le fondateur de l'enseigne.

Un entrepôt qui sert à stocker les 30 tonnes de vêtements récoltés ces 4 derniers mois et où deux personnes s'emploient à les trier. Une partie va en boutique, une autre vers des assos et une dernière est à destination d'autres revendeurs.

Seconde main et vintage 


Toutes ces fringues viennent en quasi totalité de particuliers qui les ont envoyés pour les faire racheter à 1€ le kilo. Une collecte qui se fait uniquement via internet (on vous file les détails plus bas) et qui permet à la boutique de 200m² d'être tout le temps bien fournie en vêtements de qualité, stylés et de saison. "On fait attention à ne pas avoir de fast fashion et surtout des pièces de qualité qui mêlent vintage et seconde main. Le but c'est que pour 20€ on puisse se faire un look en entier", explique Simon, le chef de projet. 

Baptiste et Simon
Baptiste et Simon
C'est lui qui a dirigé Baptiste vers le concept de la boutique physique quand ce dernier voulait du full internet. "Simon a 5 ans d'expérience dans la friperie lilloise. Quand je lui ai parlé de mon projet en janvier dernier, il m'a remis les pieds sur terre et ensemble on s'est lancé dans cette aventure", raconte Baptiste.  L'idée de ne pas s'installer en centre-ville mais dans un outlet a vite émergé et, pour l'heure, il y a tout sauf des regrets.

En boutique, vous trouvez donc de tous les styles, des marques, des accessoires et surtout des cabines d'essayage et une balance pour peser ses trouvailles. Et pour le coup, que ce soit un t-shirt de marque ou un pull vintage, le prix dépendra du poids. Sur son TikTok, la boutique montre ses dernières rentrées et les pèse pour vous donner une idée du prix de vente.
@fringokilo Test du Jean Cargo à 20€/KG, quel vêtements pour la prochaine vidéo ? #friperie #fripe #friperielille ♬ Good With Me - Jaylon Ashaun

La revente en ligne 

Comme on vous le disait plus haut, le stock de Fringokilo vient essentiellement d'envois de particuliers. "Les gens nous envoient les vêtements dont ils ne veulent plus pour 1€ le kilo de vêtements. Et, contrairement aux apps de revente, ici, pas besoin de prendre les pièces en photo une par une : il suffit de tout mettre dans un carton et de le déposer en point relais avec une étiquette prépayée", résume Baptiste. 

Il faut quand même suivre quelques règles sous peine de voir son carton faire retour à l'envoyeur à vos frais : 

  • tri des vêtements (ni tachés ni troués).
  • pesée du colis et formulaire à remplir en ligne
On insiste sur le côté "en ligne" car ce n'est pas la peine de débarquer à la boutique roubaisienne pour le coup. "On fait une vraie distinction entre la collecte et la revente", indique Simon. Pour une question de logistique, forcément, mais aussi parce que le tri est une étape on ne peut plus importante. C'est d'ailleurs ce tri mais aussi les frais d'envoi, le stockage, les loyers et les salaires qui donnent cet écart entre le prix à l'achat (1€ le kilo) et celui à la revente en magasin (20€ le kilo). 

Le concept de Fringokilo semble quoi qu'il arrive fonctionner puisque les deux associés cherchent déjà un entrepôt plus grand et imaginent ouvrir d'autres boutiques dans le secteur. Et pas forcément dans des outlets pour le coup. 
Vozer Vozer

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article écrit
par Justine Pluchard

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