D'ici la mi-novembre, la rue du Molinel comptera une nouvelle boutique aux saveurs d'ailleurs. Maison Satori, grande sœur du petit Konbini à deux pas de là, compte bien faire voyager vos papilles jusqu'au Japon. Simon, diplômé en cérémonie du thé, proposera à la vente une soixantaine de thés, de l'artisanat, des ateliers et même à l'avenir un bar à matcha de qualité.
On avait déjà rencontré Simon en 2021 quand il officiait dans le Petit Konbini de Quentin, rue du Molinel. Ces deux amoureux du Japon ont fait grandir cette épicerie spécialisée en produits made in Japan mais ont commencé à s'y sentir à l'étroit. Car Simon, en bon diplômé en cérémonie du thé de l'école Urasenke, a dès son arrivée eu envie de partager sa passion pour la boisson dans différents ateliers. "Mais là, on a arrêté : faute de place, les gens ne pouvaient pas aller au bout de l'expérience", confie Quentin.
Le duo se met alors en quête de m² supplémentaires pour justement assouvir cette envie de partage et de découverte autour du thé. "On voulait que ça reste proche du Petit Konbini pour que les clients puissent aller et venir si besoin." Et voilà que l'ancien local de la boutique L'Illu (sur le trottoir d'en face) se libère…
Le duo se met alors en quête de m² supplémentaires pour justement assouvir cette envie de partage et de découverte autour du thé. "On voulait que ça reste proche du Petit Konbini pour que les clients puissent aller et venir si besoin." Et voilà que l'ancien local de la boutique L'Illu (sur le trottoir d'en face) se libère…
Depuis le début du mois d'octobre, ils sont en train d'y faire quelques travaux pour y installer Satori, leur maison du thé. On a bien écrit "maison" et non "salon" : ici, on ne vient pas se poser mais bien acheter de quoi faire infuser chez soi. Un grand comptoir et un mur de thés (une quarantaine pour commencer), tous venus directement du Japon, vont être installés. "On aura aussi de l'artisanat japonais, des accessoires à thé, de l'encens ou encore des livres sur la Japon", énumère Simon.
Les 60m² du local vont aussi lui permettre de vendre des kimonos vintage (eux aussi venus du Japon) et de mettre en place des ateliers autour du thé ou de l'art du pays (kintsugi ou encore cours de langue). Il restera même de la place pour un bar à matcha...
Les 60m² du local vont aussi lui permettre de vendre des kimonos vintage (eux aussi venus du Japon) et de mettre en place des ateliers autour du thé ou de l'art du pays (kintsugi ou encore cours de langue). Il restera même de la place pour un bar à matcha...
Un espace où, là, vous pourrez vous poser pour déguster un bol. "On veut proposer du matcha traditionnel, le bon, celui qui ne coûte pas forcément une blinde", ajoute Simon qui a un peu de mal avec la hype autour de ce produit qui peut vite allier mauvaise qualité et prix exorbitant si on ne s'y connait pas.
Mais ce bar à matcha ne sera pas prêt à l'ouverture car il va dépendre de la réussite du crowdfunding que les deux amis ont lancé. Une campagne qui se terminera le 12 novembre avec des contributions à partir de 5€. N'hésitez pas à y faire un tour si le matcha est votre dada.
Mais ce bar à matcha ne sera pas prêt à l'ouverture car il va dépendre de la réussite du crowdfunding que les deux amis ont lancé. Une campagne qui se terminera le 12 novembre avec des contributions à partir de 5€. N'hésitez pas à y faire un tour si le matcha est votre dada.
