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- Des cursus mi-théoriques, mi-professionnalisants
Les cours sont pour la plupart dispensés par des intervenant·es pro'. Et ça, ça fait la diff' pour Joséphine en deuxième année du master Management de la culture, musiques actuelles et réalisation documentaire (MCMARD). "Les intervenants nous parlent de leur quotidien, ils nous font faire beaucoup de cas pratiques. En cours de production musicale par exemple, notre prof' musicien sort un nouvel album donc il nous a fait travailler sur son financement, l'organisation de sa tournée, etc. C'est du concret. On fait aussi pas mal de visites de projets artistiques ou des studios", raconte-t-elle. Beaucoup d'intervenant·es pro' aussi au sein du master Patrimoines, musées et numériques, avec de nombreuses sorties et projets avec des lieux mythiques et historiques comme la maison natale de Charles-de-Gaulle.
Et pour toujours plus de professionnalisation, les étudiant·es ont des stages de 3 à 6 mois à réaliser en première et deuxième année de master. L'occasion de pouvoir assurer son avenir pro' à la sortie d'école.
- Des promos à taille humaine
Et on parle de très petits humains. Comptez entre 7 et 15 élèves par promo grand max. "C'est un avantage car le rapport avec les professeurs est privilégié. On se connaît toutes et tous, on peut échanger librement avec les intervenants et ils ont le temps pour chacun d'entre nous", explique Joséphine.
Autre point fort, les trois masters sont assez récents. "On est la 4e promo, informe Anne-Laure, en M2 Ecritures, lettres et éditions numériques. Les professeurs, surtout le directeur du master Aliocha Wald-Lasowski, sont très à l'écoute des idées d'amélioration que l'on soumet pour le master et elles sont prises en compte."
- Des projets étudiants
Une chose est sûre, peu importe le master des étudiant·es interrogé·es, iels ne s'ennuient pas. Exposition, mémoire, docu, conception et vente de livres... chaque formation a ses projets. Sophie et Thomas, en master Patrimoines, musées et numérique viennent, en décembre dernier, de clôturer une double exposition sur les Accents sur la vie quotidienne. " Nous avons réalisé des posters scientifiques sur différents thèmes traitant de la région à partir des archives de La Catho ou encore de musées de la région, comme celui de l'Avesnois", détaille Sophie.


On avait prévenu. En rejoignant un des masters de la FLSH, vous ne risquez pas de vous ennuyer.
Des JPO pour en savoir plus
Si vous souhaitez en savoir plus sur la FLSH et ses formations, une journée portes ouvertes est organisée le 16 mars (sur inscription ici). À 14h30, vous pourrez d'ailleurs assister, en présentiel ou en distanciel à la conférence Master : travailler dans les métiers du patrimoine et des musées, animée par Philippe Diest, co-responsable du master Patrimoines, musées et numérique. Elle sera disponible en replay pour les absent·es.
Vous serez fin prêt·e à vous rendre sur la plateforme Mon Master. Pour tout savoir sur les masters de la FLSH, rendez-vous sur leur site.
