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Un Moxy Hotels va s'installer dans l'ancienne fac de pharma

Lucie Delorme 0 min de lecture
07 fév. 2018,

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Photo @Moxy Hotels (Tokyo) Si vous avez un peu voyagé en Europe sans avoir spécialement d'argent, vous avez peut-être atterri dans un Moxy Hotels. Un peu dans la veine des Mama Shelter, ces complexes hôteliers s'adressent aux jeunes sans le sou mais dotés d'un smartphone. L'un d'eux va s'implanter dans l'ancienne fac de pharma, en train de se refaire une beauté.  Alors voilà. Vous avez les locaux de l'ancienne fac de pharmacie, rue Jean-Bart, qui ne sont plus occupés par les étudiants depuis un petit bout de temps maintenant, mais qui ont tout de même un certain intérêt architectural, rapport au fait que les bâtiments sont magnifiques. Pas question de raser le tout pour construire du neuf, donc. En mars 2016, la ville a cédé les lieux à un promoteur, Finapar, pour 11,4 millions d'euros, qui a décidé de les transformer en logements et en complexe hôtelier. [caption id="attachment_7399" align="aligncenter" width="1024"] Dans l'ancienne fac de pharma, un Moxy Hotels et 200 logements vont voir le jour fin 2019. Photo @Google Maps[/caption] Les travaux ont déjà bien commencé, notamment pour les deux cents logements, mais on attendait encore de savoir qui allait prendre en charge la partie hôtel du lieu. Et c'est les copains de La Voix qui viennent de balancer l'info : c'est donc un Moxy Hotels (oui, hotelS) qui va s'installer entre le Tir na Nog et le parc aux grilles rouges. Il y a pire, comme emplacement, pour un hôtel-restaurant destiné aux jeunes. Côté concept, on va donc avoir un hôtel pas cher mais avec des grandes chambres de 20m2 ultra connectées, un restaurant qui devrait être dans la même veine et un bar ouvert 24 heures sur 24, assure son site internet. Bien évidemment, si on vous en parle, c'est parce que l'hôtel ne sera bien sûr pas réservé à ceux qui y dorment. Les Lillois pourront aller jouer au Jenga, boire des godets, manger un bout, et faire la fête, si on en croit l'image véhiculée par la chaîne sur les réseaux sociaux. Rendez-vous fin 2019.    

article écrit par Lucie Delorme



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