Accueil Vert et Solidaire C'est green
La boutique SlowMod lance sa première collection de vêtements upcyclés (et sublimés)
Marie Da Silva,
0 min de lecture
04 juil. 2020,
C'est green
SlowMod, véritable paradis des belles fripes, lance sa première collection originale. L'idée ? Sublimer des vêtements de seconde main grâce à de jolies broderies créées pour l'occasion. C'est le moment de booster un peu sa garde-robe. On vous explique.
On avait déjà rencontré Justine l'année dernière, alors que sa petite affaire venait à peine d'ouvrir. Installée rue Pierre Mauroy à Lille, SlowMod regroupe tout un tas de fringues et accessoires de seconde main. En plus, la boutique se la joue aussi éthique et solidaire puisque les pièces que vous pouvez y trouver viennent de centres de collecte. Des ateliers axés upcycling et do it yourself sont également régulièrement proposés. Bref, c'est un peu la caverne d'Ali Baba pour tous les fanas de fringues adeptes de mode éco-responsable.
À côté des portants remplis de t-shirts, vestes et chemisiers vintage (entre autres), un nouvel espace vient de d'être aménagé dans la boutique. Il est dédié à la toute première collection originale imaginée par Justine et son équipe. "L'idée, c'est de récupérer des basiques de seconde main. Et comme ils sont un peu simples, nous avons décidé de les personnaliser. Pour ça, on a créé nos motifs nous-mêmes en s'inspirant des couleurs de l'été, de la Provence et aussi de la femme, de la féminité", raconte la patronne. C'est donc assez logiquement que la collection s'appelle "La femme en Provence". Et on peut vous dire que ça sent bon l'été.
À lire aussi, c’est tout frais !
Le challenge Mai à vélo a démarré dans la métropole lilloise
Aurore Garot,
2 min de lecture
04 mai 2024
Transports
C'est green
Le marché du printemps de Roubaix fera son retour le dimanche 5 mai
Margot Hoornaert,
2 min de lecture
20 avr. 2024
C'est green
Fou de Coudre : la nouvelle boutique upcycling du centre de Lille
Lola Pierkot,
2 min de lecture
17 avr. 2024
Staïle
C'est green
article écrit par Marie Da Silva