"Ils nous ont fait un signalement à l'été 2022 pour nous faire part de la difficulté de leur situation et évoquent 30 à 40% de chiffre d'affaires en moins en 2022 par rapport à 2019. Cela notamment parce qu'ils font face à une augmentation des prix du loyer mensuel qui s'élève souvent à plusieurs milliers d'euros, là où en comparaison les foodtrucks versent beaucoup moins : 2700€ de redevance à l'année", nous expliquait ce mardi Arnaud Deslandes, adjoint au maire en charge du commerce.
Conclusion : même s'il existe d'autres problèmes (la baisse de fréquentation d'EuraTech' depuis l'augmentation du télétravail, l'inflation, etc), la ville a décidé "de mettre en place une mesure de sauvegarde pour les restaurateurs en ne remettant pas en jeu ces emplacements sur le parvis". Il s'agit donc des dernières semaines pour profiter des foodtrucks qui disparaitront dès le 1er octobre.