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Rebellote, la braderie nomade pour trouver des fringues tendances à prix doux

Aurore Garot 2 min de lecture
22 jan. 2024, Staïle

@Rebelotte

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Mélanie et Julie font de la "braderie sélective". C'est-à-dire qu'elles récupèrent des vêtements tendances, de saison, en bon état chez des particuliers pour les revendre à prix doux derrière. Pour profiter de leurs trouvailles, il suffit de se rendre à leurs vide-dressings éphémères qui s'installent 4 à 6 fois par mois un peu partout dans la métropole lilloise. On vous file les prochaines dates.
Oui, on peut s'habiller à la mode avec des vêtements de seconde main. Mieux, on peut se fringuer comme des stars, sans agrandir le trou dans la couche d'ozone et dans le porte-monnaie. En ayant ça en tête, Mélanie et Julie ont créé "Rebellote", la braderie sélective qui se balade un peu partout dans la métropole lilloise pour vous partager ses trouvailles.
Mélanie et Julie ont créé Rebellote il y a un peu plus de 2 ans. @Rebelotte
Mélanie et Julie ont créé Rebelotte il y a un peu plus de 2 ans. @Rebelotte

Recup chez particulier.es


"On récupère les vêtements chez les particuliers qui nous contactent via les réseaux sociaux, explique Julie. On leur demande des photos pour voir s'ils sont de saison, à la mode et dans un état impeccable et si tout est ok, on se déplace pour les récupérer."

Et il y a de tout en mode féminine : des "marques premiums" comme Sézane, The Kooples ou encore American Vintage mais aussi des marques plus accessibles comme Promod, Zara, Mango, etc. "Ça va du 36 au 42. On a beaucoup de mal à trouver au-delà", continue la Lilloise.

4 à 6 ventes par mois


Une fois que les voitures de Julie et Mélanie sont bien remplies de fringues, accessoires et sacs tendances et en adéquation avec la saison, les deux sœurs passent en mode vente. "On organise 4 à 6 fois par mois des vide-dressings dans des bars, restos, espaces de co-working et dans des cellules vides de centres commerciaux."

À chaque fois, ce sont environ 800 pièces triées par taille et catégorie qui sont proposées aux client·es. "Elles coûtent 50 à 70% moins cher qu'en neuf. Mais ça va dépendre de la marque", précise Julie, qui installe un miroir et une cabine d'essayage pliable dans chaque lieu.

Et voici les prochaines dates à noter : 

Une fois la pièce vendue, l'argent se divise entre Mélanie et Julie et les particulier·es. "Elles récupèrent 60% de la vente et on prend 40% de commission." Mais attention : les fringues doivent partir en un mois et demi max. "Sinon, ils faut qu'elles reviennent récupérer leurs invendus", précise Julie. Voilà, on vous laisse avec leur Insta pour suivre leurs prochaines braderies sélectives.

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article écrit par Aurore Garot

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