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Musicien·ne, sportif·ve de haut niveau, l'école adapte votre emploi du temps pour que vous puissiez consacrer une partie de votre planning à vos entraînements, répet' et compet'. Comment ça se passe concrètement ? Celles et ceux qui le vivent au quotidien vous racontent.
Mathilde is the new Elisabeth Harmon

Avec ce statut, elle a pu malgré ses études et un rythme de cours soutenu, aménager son emploi de temps afin de poursuivre les compétitions. "Quand je suis arrivée en cycle prépa, j'ai pris rendez-vous avec mon prof référent afin qu'on puisse ajuster mon planning", explique Mathilde. Ainsi, certains cours ont été remplacés par des compét' ou des entraînements. "Le tout c'était de ne pas rater les évaluations et continuer d'avoir de bons résultats scolaires."
Même que l'école lui a permis de devenir vice-championne universitaire à Barcelone, et troisième en binôme. "Avec Junia j'ai pu participer à plein d'événements. Je me suis vraiment sentie considérée. On peut avoir peur car dans la spé' BTP où j'étais les promos sont grandes, on était une centaine mais le suivi a été personnalisé. On a pris en compte mes besoins", souligne Mathilde.
Paul, un peu plus près des étoiles
Pour les compétitions, Paul fournit un justificatif de son inscription afin de prouver son absence et le tour est joué. "Les équipes pédagogiques sont compréhensives et assez souples dès qu'on propose des solutions pour rattraper. Je n'ai jamais eu de problème pour participer à une compet'", assure l'étudiant qui est actuellement vice-champion régional et départemental.
En ce moment, il s'entraîne pour la compétition universitaire. "Il y a deux compétitions universitaires : une en bloc et une en difficulté. Je suis arrivé 2e en bloc, il faut maintenant que je fasse un bon classement en difficulté car la compet' est qualificative pour les championnats de France." Le secret de Paul pour maintenir de bons résultats scolaires et sportifs ? "Tout est une question d'organisation", glisse le blocker.
Marc, quand la musique est bonne

Aux côtés d'ingénieur·es du son, d'enseignant·es-chercheur·euses, d'acousticien·nes, les élèves s'intéressent de près au fonctionnement d'une table de mixage, d'une enceinte, aux phénomènes physiques comme les réverbérations, "à l'étude des sons", résume-t-il. Parce que oui, cela reste des passions mais en école d'ingé. Donc ne vous imaginez pas dans Un, dos, tres lancer votre groupe de musique.
Pas de UPA Dance ici mais plutôt des laboratoires d'acoustique et surtout la possibilité de se lancer dans des projets concrets. "Chaque année, les étudiants sont libres de réaliser un projet comme la création d'un synthétiseur ou d'instruments virtuels. L'objectif c'est de s'amuser avec nos compétences en tech' et en informatique, le tout lié à la musique", commente le doctorant.
Pour info, Musiques et technologies n'est pas le seul parcours passion proposé par l'ISEN. Vous pouvez aussi vous lancer dans Théâtre études, si vous avez envie de vous lâcher sur scène ou d'être plus à l'aise pour parler en public etc. Deux autres parcours sont dispos : Sport études et Musique études mais là des critères de sélection sont exigés (pratique au niveau régional ou national, solfège et/ou conservatoire, etc.)
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