24h pour faire un pochoir
Mais aujourd'hui, c'est moins par le graffiti que par le pochoir que Mos Art est connu. "Je n'avais pas de talent particulier en dessin. Le pochoir, comme on part d'une image qui existe déjà, ça nous permet d'avoir des bases pour travailler dessus", continue le street artist qui reprend majoritairement des photos et images de personnes ou personnages mais aussi parfois d'animaux. Je choisi des visages qui me parlent avec une émotion ou une expression particulière", ajoute-t-il.
La métropole, un bon terrain de jeu
En plus de ce qu'il propose dans la rue, Mos Art prend aussi vos commandes pour votre intérieur. "Je fais mes pochoirs sur de la tôle rouillée, sur du papier, des toiles, sur les murs directement... tous les supports plats", précise le street artist. Pour ça, rendez-vous sur son site internet.